Rien de nouveau

Francis Cabrel

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Intro : Elle passe Sans le regarder, elle passe Lui ça lui glace le dos     Elle est exactement tout ce qu'il lui faut... il lui faut         Elle laisse Sans même y penser elle laisse Traîner comme un lasso      Quelques parfums où il vient se prendre aussitôt Aussitôt          Il bloque                   Les yeux comme des hublots                    Et le coeur au-delà du tempo Il fonce Il part droit sur elle il fonce Comme un lanceur de marteaux Après il jongle avec des cercles et des flambeaux. Des flambeaux Il parle Jusqu'à l'asphyxier Il parle comme gable à garbo Il prend des poses Comme les danseurs de tango... De tango Il bloque Les yeux comme des hublots En fait... en fait il en fait trop ! Y'a soixante-cinq millions d'années    Par un soleil comme aujourd'hui    Un de nos grands-parents faisait    Le beau pour sa nouvelle amie    Et lui il reste Il reste comme collé au carreau Il dit qu'il l'aime en somme Et c'est rien de nouveau... rien de nouveau (Instrumental) Les yeux comme des hublots Et le coeur au delà du tempo Y'a soixante-cinq millions d'années Par un soleil comme aujourd'hui Un de nos grands-parents faisait Le beau pour sa nouvelle amie Il reste Il reste comme collé au carreau Il dit qu'il l'aime en somme Et c'est rien de nouveau... rien de nouveau

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Cette chanson raconte l'histoire d'un homme qui est complètement fasciné par une femme qui passe sans le remarquer. Il est comme hypnotisé par sa beauté, en proie à un mélange d'admiration et de désespoir. Il se retrouve à penser à l'amour, et malgré ses tentatives pour se mettre en valeur, il reste collé à son endroit, bloqué par ses sentiments. Le texte évoque une sorte de mélancolie universelle, ancrée dans le temps, où l'on ressent que les histoires d'amour et les émotions humaines ne varient guère, même à travers les âges. L’idée que, peu importe les époques, l’amour et les sentiments d’admiration restent constants est centrale, soulignant la banalité mais aussi la profondeur de ces émotions.