Encore et encore

Francis Cabrel

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| | | | | (x2) D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumière des phares Et t'entends à chaque fois que tu respires comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord      L'instant d'après le vent se déchaine Les heures s'allongent comme les semaines Tu te retrouves seule assise par terre A bondir à chaque bruit de portières Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant      La même nuit que la nuit d'avant les mêmes endroits, deux fois trop grands T'avances comme dans les couloirs Tu t'arranges pour éviter les miroirs Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace   T'as personne devant, personne Faudrait qu't'arrives à en parler au passé Faudrait qu't'arrives à ne plus penser à ça Faudrait qu'tu l'oublies à longueur de journée Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle Dis-toi surtout qu'i_l ne reviendra pas Et ça t'fait marrer les oiseaux qui s'envolent   Les oiseaux qui s'envolent, les oiseaux qui s'envolent | | | | | Tu comptes les chances qu'il te reste Un peu de parfum sur sa veste Tu avais dû confondre les lumières D'une étoile et d'un réverbère Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord Y a des couples qui se défont Sur les lames de ton plafond C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant, personne Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace   T'as personne devant, personne Y a des couples qui se défont Sur les lames de ton plafond C'est toujours le même film qui passe (Le même film qui passe) |    |   |   |   | |   |   |   |    | |    |    |    |   | |   |    |    |    | |    |   |   |   |

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La chanson évoque la douleur de la séparation et la solitude que l’on ressent après une rupture. Elle parle d'une personne qui se retrouve face à ses souvenirs, entourée de silences et de lieux familiers, mais qui lui semblent vides sans l’autre. Malgré ses tentatives de tourner la page et d'oublier, elle se rend compte que tout cela est un cycle qui se répète inlassablement, comme un film qu’on connaît par cœur. Le contexte semble être celui d'une introspection sur les relations passées, où chaque détail rappelle l'absence de l'autre, rendant le quotidien lourd à porter. Elle fait allusion à la difficulté de vivre le présent quand le passé pèse si lourdement sur le cœur.