Homme tout petit

France Gall

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Intro : Je suis la femme de Pablo, le Rossignol Celui qui chante sur ton balcon Qui va, qui vient, qui vole Dans ta maison, il faisait bon ; je suis venue Si je t'ai aimé vingt minutes, n'en demande pas plus Ne me retiens pas ici ! Homme tout petit, ton coeur, je l'ai pris Pourtant, j'aime mieux siffler sur les cerisiers Et homme tout petit, un air de violon Chante mes quatre saisons et voilà ma vie        Je suis la femme de Pablo, le Rossignol Et toi, tu as quatre maisons, un âne, une carriole Tu voudrais m'enfermer et me garder pour toi À courir après les richesses, as-tu beaucoup de joie ? Que fais-tu donc de la vie ? Homme tout petit, ton coeur, je l'ai pris Pourtant, j'aime mieux siffler sur les cerisiers Et homme tout petit, un air de violon Chante mes quatre saisons et voilà ma vie Et homme tout petit, ton coeur, je l'ai pris... (Ad Libitum)

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empty heart empty heart Bm, A, G, F#, Em, Am, B7, C7, F#7, G7, F#m7, D
empty heart empty heart Cm7, F, Fm, Cm, Ebm, Bb, Bbm, Ab, Abm, G, Gm
empty heart empty heart Am, Em, F#7, B7, C, A7, Am7
empty heart empty heart G, G/F#, Em, A, D7, C/G, Em7, A4, D, Bm, Am, Am/G, Am/F#, Bm/A, E7, C#m, Bm/G#, E, C#m/B, F#m
empty heart empty heart Gm, D, D7, Eb, F, Bb, G, C, B, A
empty heart empty heart E, G#m, F#m, B, F#m7, B7, D#m, D, Bm, F
empty heart empty heart A, F#m, D, E, C#m, C#7
empty heart empty heart Dm, A, Gm, F, Bb
empty heart empty heart D, F, G, C
empty heart empty heart Db, G#, Bbm, F#, G#7, Ebm7, Eb, A, D, Bm, G, A7, Em7
La chanson évoque la relation entre une femme et un homme que l'on perçoit comme étant un peu trop attaché aux biens matériels. Elle exprime son désir de liberté, sa préférence pour la légèreté et la joie de vivre plutôt que pour la possession. Malgré l'attachement qu'elle ressent pour lui, elle ne veut pas être enfermée dans une vie qui manque de légèreté, aspirant à s’évader et à profiter des plaisirs simples de la nature. Le langage poétique fait référence aux cerises et aux saisons, symbolisant des moments de bonheur éphémères et naturels, tandis que l'homme, malgré ses possessions, semble déconnecté de la vraie joie.