Baader

Font et Val

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Baader mangeait ses crottes de nez Baader faisait pipi par terre Baader était très mal él'vé Baader faisait pleurer sa mère Baader vendait au marché noir Des bonbons blancs à la vanille Qu'il volait en rentrant le soir Baader tirait les ch'veux des filles Baader torturait les mémés Baader se branlait dans les chiottes Baader fumait à la récré Baader cognait sur tous ses potes Baader sournois caftait toujours Baader sentait mauvais des pieds Baader chiait sur le velours blanc De la robe de la mariée Baader était dernier en classe Baader ne buvait jamais d'eau Baader avait le cou plein d'crasse Baader pétait sous le manteau Baader mentait en confession Tandis que le curé ému Lui accordait l'absolution Baader s'enfonçait l'doigt dans l'cul Baader s'est tué comme c'est triste Par derrière faux-jeton sublime Pour nous faire croire que la police S'rait capable de commettre un crime.

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, Em, F, C, Dm, D, G
empty heart empty heart G, Am, D, B7, Em, C
empty heart empty heart A, D, B7, E7, C#7, F#m, Dm, Bm, F, Em
empty heart empty heart G7, C7, D7
empty heart empty heart G, Am, D7, B7, Em, C, A7
empty heart empty heart F, Bb7, Dm, Dm/C, Bbmaj7, G7, C7, Db7
empty heart empty heart G, F, C, Em, A
empty heart empty heart D, A, G, Em, F#m, Bm, C
empty heart empty heart Bm, F#, F#7, D, A, G, C#7, E
empty heart empty heart G, C, D, Em, Bm
La chanson décrit un personnage nommé Baader, un jeune trouble-fête aux comportements inappropriés et antinormatifs. Il se conduit mal, fait du tort à son entourage, et semble se complaire dans ses méfaits, que ce soit en volant des bonbons, en harcelant ses camarades, ou en agissant de manière irrespectueuse dans divers contextes. Les anecdotes s'accumulent pour peindre le portrait d'un enfant à l'attitude révoltante, dont les actions provoquent à la fois l’amusement et la désolation. Ce ton humoristique et irrévérencieux, typique de certaines créations contemporaines, vise à mettre en lumière les excès de l'enfance désobéissante tout en offrant une critique sociale. Il évoque aussi une ironie poignante lorsque les actes de Baader sont confrontés à des institutions comme l'école ou l'église, laissant transparaître une certaine dénonciation des hypocrisies du monde adulte.