Funambule

Folles Chlorées

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(x2) Je sais qu'il faut que je la fasse mais j'ai le temps de la laisser traîner Comme ma vaisselle mes ambitions demeurent au fond de l'évier Mais moi je me dis qu'il y a toujours une ligne Si on la franchi, il y a toujours moyen de venir    (x2) Parce que y'a tellement de choix dans vie comment je fais pour savoir lequel est le bon Quand je frappe un mur comment je sais s'il est béton Parce qu'on se dit c'est pas moi c'est quelqu'un d'autre Qui va ramasser, on est tellement anyway    Demain matin je vais marcher dans la rue un peu déçu de voir Qu'y a rien qu'y a changé je suis un funambule sur la corde de mon destin Un faux pas pis sans même m'en rendre compte Les histoires c'est moi qui les conte Le funambule d'un monde en bascule           Demain matin je vais marcher dans la rue un peu déçu de voir Que c'est encore normal de voir les mêmes faces, sur les pancartes électorale Un faux pas pis sans même m'en rendre compte Les histoires c'est encore  moi qui les contes Le funambule d'un monde en bascule    Le funambule d'un monde en bascule        (x5) Demain matin je vais marcher dans la rue un peu déçu          

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, F, G, Dm, C
empty heart empty heart Em, C, D, G
La chanson parle de ce sentiment de stagnation et d'hésitation face à la vie. L'auteur se rend compte qu'il a des ambitions mais qu'il les laisse traîner, comme une vaisselle sale qui s'accumule. Malgré tout, il garde espoir qu’il existe toujours une voie à emprunter, même dans les moments d’incertitude. Il évoque aussi les choix difficiles que l'on doit faire, les illusions que l’on s’invente en pensant que d'autres s'occuperont de nous. Le contexte est celui d'une société où les mêmes visages reviennent sans cesse, comme sur des affiches électorales, ce qui crée un sentiment de désillusion et de monotonie. L'image du funambule représente bien cette quête de trouver son propre équilibre au milieu des turbulences de la vie.