Sari d'Orcino

Feu! Chatterton

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Couplet : Em    : 022000 Em/F# : 222000 G6    : 320000 Refrain : G6      : 320000 Em/F#   : 222000 Em      : 022000 Am      : 002210 C/ G    : 332010 Outro : Em      : 779987 D       : 557775 C       : 032010 Cmaj9/E : 020010 Am      : 002210 (x2) Pour voir Sari d'Orcino Nous roulons toujours le long de la mer. (Etc…) Comme un grand banc de poissons Le vent tiédissant me file entre les doigts. Juliette avait mis sa robe orangée, Gorgée du soleil cueilli ce matin. Juliette avait mis là sa robe orangée, Gorgée de soleil. Le ruisseau est plein de tes rires Je me baigne dedans Quelle heure est-il, où atterrir ? Le ruisseau est plein de tes rires Je me baigne dedans Tu te portes comme un charme Un pendentif. (Etc…)             Abricot géant pomelos J'ai mordu À tous les fruits de ton verger J'ai dit qui es-tu ? Et puis j'ai Pris ton corps nu Il avait un goût de melon Alors le matin s'est levé Sur nos corps nus Il faisait un petit peu froid Toi la première ce fut toi Qui dit c'est l'heure où l'on revêt Nos manteaux de pudeur Quand l'aube à la couleur Du péché. Juliette fait le tour de l'endroit puis Elle filme un morceau du panorama. Dans sa robe baignée de soleil filent Mes doigts comme le vent tiédissant. Juliette a remis sa robe orangée, gorgée du soleil accueilli ce matin. Juliette a remis là sa robe orangée, Gorgée de soleil. Le ruisseau est plein de tes rires Je me baigne dedans Quelle heure est-il, où atterrir ? Le ruisseau est plein de tes rires Je me baigne dedans Tu te portes comme un charme Un pendentif. (x2) Remangerons-nous le fruit du hasard Cette pomme étrange Qui affame quand on la mange Adieu, Adieu verger Abandonner nos pas à l'odeur du figuier Qui est celle de l'été Adieu, Adieu verger            L'angoisse pénétra comme un corps extérieur Nous l'assiégeâmes de mille pierres Alors apparu changé en perle   Ce vieux monde calcaire Adieu, Adieu verger                  Remangerons-nous le fruit du hasard Cette pomme étrange Qui affame quand on la mange Adieu, Adieu verger Abandonner nos pas à l'odeur du figuier Qui est celle de l'été Adieu, Adieu verger             L'angoisse pénétra comme un corps extérieur Nous l'assiégeâmes de mille pierres Alors apparu changé en perle   Ce vieux monde calcaire Adieu, Adieu verger                 

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La chanson évoque un voyage le long de la mer, rempli de souvenirs et d'images sensuelles. Elle parle de Juliette, vêtue d'une robe orange, et des instants de bonheur partagé entre rires et douceur, au cœur d'une nature chaleureuse. Les paroles jouent avec des métaphores de fruits et de vergers, symbolisant les plaisirs de la vie et le passage du temps, tout en flirtant avec l'idée de souvenirs éphémères. Dans un cadre estival, elle souligne la beauté des moments simples, tout en dépeignant une certaine mélancolie face aux transitions de la vie. Des réflexions sur le désir et l'évasion fusionnent dans cette ambiance légère, où la joie et l'angoisse s'entremêlent, révélant une quête d'harmonie face aux aléas que l'on traverse.