Du désordre

Elsa Lunghini

Transposer:

|  |  |  |  | (x2) Le temps d’éteindre ma cigarette  Non plus rien à te dire  Le temps des incendies passés  Du brasier à la suie  Tu n’auras duré que le temps  D’un plaisir désolé  Il m’aura fallu peu de temps  Entre le désir et le vide       |  |  |  | | |  |  |  | Que reste-t-il de nos envies ?  Quand tout passe tout se casse  Que reste-t-il de nos avants ?  Du désordre quel désastre !  De savoir qu’ici rien ne tient  Quand je passe tu trépasses  Des lendemains désenchantés  Je m’en lave les mains       |  |   |   | | |  |   |   | | |  |  |  | | |  |   |   | |  |   | Le temps d’ouvrir les yeux  Je ne vois déjà plus très bien  Ce que je faisais près de toi  Je ne me souviens plus de rien  Allons ensemble prendre la route  Aux adieux je me rends  Sur le chemin en plein jour  Je me sens déjà loin       |  |   |   | | |  |   |   | Le temps d’éteindre ma cigarette  Non plus rien à te dire  Le temps des incendies passés  Du brasier à la suie  Tu n’auras duré que le temps  D’un plaisir désolé  Il m’aura fallu peu de temps  Entre le désir et le vide       |  |   |   | | |  |   |   | | |

Du même artiste :

empty heart empty heart Dm, C, F, Bb
empty heart empty heart G#m, Ebm, Dbm, F#, F#m
empty heart empty heart Ab, Eb, Fm, Cm, Bbm
Cette chanson évoque la mélancolie d'une relation qui n'aura été qu'un moment éphémère, un plaisir fugace. Elle met en lumière la désillusion qui suit les souvenirs d'un amour passé, entre le désir intense et le vide qui lui succède. Les images d'incendies et de désordre symbolisent la destruction et la perte de ce qui était précieux, soulignant le caractère éphémère des envies et des promesses. Le refrain rappelle le sentiment de désespoir face à la réalité implacable où tout semble se défaire, laissant un goût amer de regrets. Le contexte de cette œuvre peut être associé à une période de rupture ou de désillusion amoureuse, où l'on prend conscience que les souvenirs heureux se sont évanouis, laissant place à un sentiment d'abandon. La chanson illustre parfaitement cette lutte interne entre le passé et le présent, entre l’amour de ce qui fut et le besoin d'accepter la réalité d'ici et maintenant.