Mes souvenirs, mes seize ans

Eddy Mitchell

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Intro :         Le Calypso Bar du Square de la Trinité En a vu passer des stars de quartier        Mais ils ont tell'ment rêvé tout éveillés Le hasard, la magie les a réalisés      Jacques Dutronc ne pensait pas encore à Hardy Long Chris confondait diligence et taxi           Jean-Philippe Smet ignorait tout de Johnny Et piquait mes disques dans les surprises-parties Mes seize ans brûlent encore dans mes souvenirs Des clichés qui n'arrivent pas à mourir Les premiers blousons, T-shirts et jeans délavés Les premiers rockers légendaires et pionniers        Gene Vincent qui pleurait sur "Ba, Baby Blue" On aimait tout ça et passait pour des fous (Instrumental) :                       Mes seize ans brûlent encore dans mes souvenirs Des clichés qui n'arrivent pas à mourir Ma première guitare s'est brisée dès l'premier jour J's'rai pas musicien, mais chanteur faut d'l'humour       Nostalgie tu reviens un peu trop souvent rôder Parfois tu fais mal mais comment t'oublier Mes seize ans brûlent encore dans mes souvenirs Des clichés qui n'arrivent pas à mourir Mes seize ans brûlent encore dans mes souvenirs Des clichés qui n'arrivent pas à mourir ….

Du même artiste :

empty heart empty heart A, F#m, D
empty heart empty heart Bm, F#, Em7, A, D/F#, C#, D, G
empty heart empty heart Gmaj7, A6, Em7, G/A, A, F#m7, Dmaj7, G#m7, C#7, B/C#, Gmaj9
empty heart empty heart Fmaj7, Bb6, Gm7, C7, Fmaj9, F, Bbmaj7, Gm9, Bb, Bbmaj9, C11, C9
empty heart empty heart A, A7, D, F#m, B7, E7, A/C#, D7, F#m7, E7/4, E
empty heart empty heart Fm7, Bbm7, Eb7, Abmaj7, Dbmaj7, Cm, Db, C7, Bb/C, Gm7, Fmaj7, D7, Bbmaj7, A7
empty heart empty heart D, Bm, G, A7, F#m, A, F#m7, F#7
empty heart empty heart F, C, Bb, Gm7, C/E, Bb/D, F/C, Dm7, Am7, Dm/A, Gm, C7, Fmaj7, Bbm
La chanson évoque avec tendresse et nostalgie les souvenirs d'une adolescence marquée par des moments forts et des rencontres qui ont façonné le passé. Elle fait revivre les instants de rêve et d'insouciance, lorsque la musique et les premières amitiés étaient au cœur de la vie, entre les blousons d’époque et les artistes emblématiques. Les souvenirs sont si vivants qu’ils semblent ne jamais vouloir s’effacer, même si le temps a passé. On y ressent aussi un brin de mélancolie, comme si le narrateur se débattait avec le poids de cette nostalgie, tout en célébrant la beauté de ces années formatrices.