Je chante pour ceux qui ont le blues

Eddy Mitchell

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(Tempo : 126) Intro : Pour certains Les belles chansons d'amour Se r'ssemblent toutes C'est le même cinéma    Ces cyniques, ces désabusés Veulent pas montrer Qu'ils savent pleurer Je chante pour ceux qui ont le blues Ceux qu'on a laissés D'côté       Je reviens Souvent, presque toujours Sur les mêmes doutes Ce mal qu'on a en soi Acide, amer mais profil bas Je n'livre pas D'message mais moi Je chante pour ceux qui ont le blues Ceux qu'on a laissés D'côté       L'a      mour, ça s'demande pas Même à Noël, ca s'commande pas   C'est des clichés fait pour pièger Ceux qui sont seuls  les oubliés   Pour beaucoup Les belles chansons d'amour Se ressemblent toutes Mais moi, je marche à ça Même si le texte parait sucré Il peut blesser Ou faire rêver Je chante pour ceux qui ont le blues Ceux qu'on a laissés D'côté       L'a  -  mour, ça s'demande pas Même à Noël, ca s'commande pas   C'est des clichés fait pour pièger Ceux qui sont seuls, les oubliés   Je chante pour ceux qui ont le blues Ceux qu'on a laissés D'côté       Je chante pour ceux qui ont le blues Ceux qu'on a laissés D'côté

Du même artiste :

empty heart empty heart D7, G, Em, C, C7, D, G7, A7
empty heart empty heart F, Bb, C, Dm, Bb7, F7
empty heart empty heart Cm7, Fm, Cm, G7, G, C6, A#, F, D#, D#/C, Cm/G#
empty heart empty heart C, D, Em, G, B7, Em/G
empty heart empty heart F7/4, F7/4/Eb, Db6, Eb4, F, Dbmaj7
empty heart empty heart Bb/C, C, Dm7, Em7, F, G7, Bb, Am, Gm, G
empty heart empty heart Ebm, Ab, F#, B, Bb7, Em, A, G, C, B7
Cette chanson évoque la réalité souvent douloureuse de ceux qui ressentent un profond chagrin, en contraste avec les chansons d'amour que beaucoup trouvent trop idéalisées. L'artiste exprime sa solidarité envers les laissés-pour-compte, ceux qui cachent leurs émotions et leurs souffrances, tout en soulignant que l'amour ne peut être commandé ni planifié. Dans un monde où les clichés dominent, cette voix s’adresse à ceux qui se sentent seuls, ceux qui ont le blues, pour leur rappeler qu'ils ne sont pas oubliés. Il évoque un mal intérieur, une lutte personnelle que beaucoup partagent en silence. La simplicité des mots cache une profondeur qui touche une réalité universelle : être humain, c'est souvent porter des blessures.