J'ai tous les plans

Eddy Mitchell

Transposer:

(x4) Y'a des gens haut placés Des cerveaux des surdoués Des donneurs de leçon Qui savent tout sur tout, des épées Des faiseurs de morale Qui cassent le tien à répéter   Mon grand, j'ai tous les plans        Mon grand, j'ai tous les plans        Comme j'ai un manque de savoir vivre C'est sûr je n'oublierai pas de mourir Psychologiquement, je suis navrant Même si Sigmund Freud Voulait me prêter son divan Pour peu que je sois cassé Je dors quand je suis allongé J'aime les filles qui prétextent L'allergie aux chaleurs de l'été Pas ce soir, j'ai la migraine, Bu trop de champagne, je dois me rentrer Mon grand, j'ai tous les plans Mon grand, j'ai tous les plans En amour tout comme en politique Y'a peu de vrais mais beaucoup de carriéristes Des voleurs, des tout petits, des grands Imbus de leurs personnes Persuadés d'avoir tous les plans Mon grand, j'ai tous les plans Mon grand, j'ai tous les plans On s'appelle Et, on se fait une bouffe Mais vraiment, toute simple Au Fouquet's, au club, oui bien sûr Je veux pas d'esbroufe Laisse faire, c'est pour moi Je m'occupe de tout De tout et de rien De rien surtout

Du même artiste :

empty heart empty heart Em, D, C, B7, G, Am, Fm, Eb, Ab, Bbm, Db, C7
empty heart empty heart G, A, Bm, Bm/A, Bm7/G, A7/4, D, A7, D/F#, Em7, Bm7, E7
empty heart empty heart C7, F7, D7, G7, G, A, F, E7, Am, F9, Eb9, D9, F#9, G9
empty heart empty heart C, G7, E7, Am, D7, G, F, Dm
empty heart empty heart F7/4, F7/4/Eb, Db6, Eb4, F, Dbmaj7
empty heart empty heart G, C, D, Cm, D7, F#7, Bm, B
empty heart empty heart Cm, G, Bb, F, G#, cm, Eb, A#
empty heart empty heart B, E, C#m, F#, G#m, D#m
Cette chanson évoque le cynisme envers ceux qui se croient supérieurs et qui cherchent à donner des leçons de morale, tout en dissimulant souvent leur propre incompétence. Le narrateur, conscient de ses propres limites, se moque des prétentions d'autrui, en affirmant avec une certaine désinvolture qu'il a des solutions à tout, même si cela ne signifie pas qu'il les applique dans sa propre vie. Le ton est à la fois ironique et désabusé, mettant en lumière les relations superficielles qui se tissent dans un monde où chacun a son propre agenda. Les références aux plaisirs simples et au rejet de l'esbroufe soulignent un besoin de sincérité dans un univers où les apparences prennent souvent le pas sur la réalité.