Le cours des jours

Dumas

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Intro : Travailler pour suffire au loyer Je cherche un soleil chaque matin d'automne Les yeux ouverts jusqu'à l'aube Entre Vénus et mon linoléum Je suis le cours des jours       À demi-éveillé Je suis le cours des jours Les yeux ouverts jusqu'à l'aube Je traîne jusqu'au matin Les heures sont sans réponse Derrière mon bureau doucement J'en oublie le reste du monde Je suis le cours des jours À demi-éveillé Je suis le cours des jours J'en oublie le reste du monde Je cherche un soleil chaque matin d'automne Entre Vénus et mon linoléum Je suis le cours des jours À demi-éveillé Je suis le cours des jours Les heures sont sans réponse Je cherche un soleil chaque matin d'automne Entre Vénus et mon linoléum

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La chanson évoque la monotonie et les petits désirs de la vie quotidienne. Le protagoniste se lève chaque matin avec l'espoir de trouver un peu de lumière et de réconfort, mais il semble piégé dans une routine sans fin, entre ses obligations et la quête d'une échappatoire. Les heures passent sans apport de réponses, et il se perd dans ses pensées, oubliant le monde qui l'entoure tout en rêvant d'un soleil réconfortant. Dans un contexte urbain, où le travail et le loyer prennent le pas sur la poésie de la vie, cette mélodie traduit une lutte intérieure à la recherche de sens et de beauté dans une existence parfois grise. C'est une réflexion sur la banalité des jours qui passent et sur le besoin d'évasion face à une réalité parfois écrasante.