Oklahoma 1932

Dominique A

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Pour gagner l'école On passait le bois Au bout on voyait Les voies ferrées  Le long des voies ferrées   Il y avait tous ces gens qui attendaient  Parfois on leur donnait  Le peu qu'on ne mangerait pas Tout ce que j'ai m'éloigne de ce temps Où l'on avait rien de tous ces gens  Le long des voies ferrées   Hommes femmes et enfants Tous attendaient   Le peu que l'on avait   Parfois on leur donnait Oklahoma 1932 

Du même artiste :

empty heart empty heart d, a, A, Dbm, F#m, E, D, e, B
empty heart empty heart A#m, F#, D#m, F
empty heart empty heart Dbm, E, B, F#m
empty heart empty heart Gm, Ebmaj7, Bb, F, F6, Cm, Eb
empty heart empty heart A5, Am, C, E5, e, G, D, Dm
empty heart empty heart Dm, Am, Bb, F, C, Dbm, B, A, E, G#m
empty heart empty heart Dm, Am, Bb, F, C, Dbm, B, A, E, G#m
empty heart empty heart Bm, G, B, Db, b5, F#, Dbm, C
empty heart empty heart Am, Em, G, Dm, F
empty heart empty heart A, Dbm, F#m, E, D
La chanson évoque des souvenirs d'une époque difficile où l'école était loin et où l'on traversait des paysages marqués par des voies ferrées. Elle raconte la détresse de ceux qui attendent, des hommes, des femmes et des enfants, en quête d'une vie meilleure. Dans ce contexte de grande précarité, il y a une humanité profondément touchante, où l'on partage ce que l'on a, même si c'est peu, avec les plus démunis. Ces images capturent une réalité poignante de solidarité face à l'adversité, ancrée dans la mémoire collective d'une période révolue.