Y'a pas de bon silence

David Jalbert

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Intro : À chaque semaine qui passe, au coeur des plus grands drames Dans toutes ces jolies phrases, chacune de mes larmes À longueur de journée, les choses où je m'attarde Au cours des années  partout où j'regarde Du soir au matin, nuit après nuit Au travail et même au bercail En plein soleil  ou sous la pluie Où que j'aille, t'es dans le moindre détail Dans chacun de mes pas  dans chacun de mes gestes J'trouve pas les bons mots  pour combler ton absence Dans chacun de mes pas,  dans chacun de mes gestes Y'a pas de bons mots;  y'a pas de bon silence Chaque impression bizarre est un dernier salut Une pensée en mémoire, un air de déjà-vu Le mois des morts, le temps des fêtes Est à nos portes et puis tout, tout s'arrête Du soir au matin, nuit après nuit Au travail et même au bercail En plein soleil ou sous la pluie Où que j'aille, t'es dans le moindre détail Refrain Du soir au matin, nuit après nuit Au travail et même au bercail En plein soleil ou sous la pluie Où que j'aille, t'es dans le moindre détail Refrain (x2)

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empty heart empty heart D, F#, G, A7, Em7/D, Dmaj7
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empty heart empty heart F, C, Dm, Bb, A, Dm/C, G, C/E
empty heart empty heart C, F, G, E7, Am
empty heart empty heart E, B, A, C#m
La chanson évoque la lutte face à l'absence d'un être cher et l'incapacité de trouver les mots justes pour exprimer cette douleur. À travers des moments du quotidien, l'artiste souligne à quel point cette absence est ressentie dans chaque geste et chaque pensée, rendant chaque instant empreint de mélancolie. Les souvenirs ressurgissent, et les périodes de fêtes, telles que le mois des morts, amplifient cette sensation de vide. Le contexte se situe dans un cadre de réflexions sur la perte et le souvenir, où chaque activité quotidienne se transforme en un rappel poignant de ce qui a été perdu. Les paroles révèlent une quête de réconfort et un désir de connexion même dans le silence.