Deux coquerelles

David Jalbert

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Intro : Au matin ensoleillé, plonger mes rêves jusqu'à ses mains. Plutôt que de précipiter, l'envie d'aller au petit coin. Qu'elle garde mon corps comme un esclave, et use ses efforts sur mon épave. Tricher les règles pour qu'elle me prenne, J'risquerais mes lèvres jusqu'aux siennes. Nous serons comme deux coquerelles, on va squatter tous les motels. De St-Agathe à Montmagny, nous déjeunerons toujours au lit. Allongée sur une peinture, une fille à poil tient sur le mur. Mais bon tant pis si c'est vulgaire, faisons l'amour et non la guerre. Instrumental : Au matin ensoleillé, frayer un chemin jusqu'à ses fesses. Puis-je ne jamais oublier, ses jolis seins sous mes caresses. J'ai laissé ma haine dans une autre vie, jeté mes peines et mes ennuis. Pour déverrouiller son bonheur, je troque la clef contre mon coeur. Refrain (x2) C'est par un ciel en plein orage, que notre histoire touche à sa fin. Alors j'ai du plier bagages, empressé par mes besoins. Le vacarme des gouttières, pressant mes pas vers la lumière. Au grand malheur j'ouvris les yeux, sans même penser lui dire adieu.

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La chanson évoque une relation passionnée, mêlant désir et légèreté. Le protagoniste se laisse emporter par une romance éphémère, où il préfère vivre l’instant présent plutôt que de se soucier des conséquences. Il imagine des moments complices et amusants, en passant d'un motel à l'autre, tout en prenant le temps d'apprécier la beauté du corps de l'autre. Cependant, la fin de leur histoire approche, marquée par une nécessaire séparation qu'il semble mal vivre, laissant derrière lui une réalité qu'il aurait préféré éviter. Le contexte de la chanson parle de cette quête de bonheur à travers l'amour physique, tout en conscientisant les aléas des relations éphémères et des adieux difficiles. L'ensemble dépeint un tableau de jouissance mêlé d'une nostalgie latente, reflet des réalités de l'amour moderne.