Voyeur

Dany Bédar

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Intro : (2 fois) un bout de chandelle dans la chambre   La femme et la flamme y dansent L'amour me force à le reconnaître   Il y a une lueur dans la fenêtre        J'ai pas pu m'empêché de rester À la regarder, à l'oublier       J'ai presque crié trop fort       Quand sa robe a quitté son corps        Pauvres voyeurs, pauvres infidèles Mais où est donc passé mon coeur ? Que je le donne à la plus belle Et qu'elle fasse repousser mes ailes     (2 fois) Je me suis caché dans un arbre      Pour la rejoindre dans son lit    Et de ses beaux grands yeux, je tombe C'est en clochant que je m'enfuis      Elle va maintenant souffler la flamme La plus belle, la plus grande des dames J'ai connu l'inaccessible étoile Elle va me brûler en baissant la toile Pauvres voyeurs, pauvres infidèles Mais où est donc passé mon coeur ? Que je le donne à la plus belle Et qu'elle fasse repousser mes ailes     Pauvres voyeurs, pauvres infidèles Mais où est donc passé mon coeur ? Que je le donne à la plus belle Et qu'elle fasse repousser mes ailes    

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Cette chanson évoque le dilemme d’un homme qui se trouve attiré par une femme dont il observe les gestes, comme s'il était un voyeur. Il se laisse emporter par sa beauté et la sensualité du moment, tout en ressentant une certaine culpabilité. L’artiste exprime une nostalgie pour un amour perdu et une quête de renouveau, cherchant à donner son cœur à celle qui pourrait lui redonner des ailes. Le contexte est rempli d’images de passion et de désir, mais aussi de trahison et de regret. La tension entre l’envie de vivre intensément cette attraction et la conscience des conséquences de telles actions crée une atmosphère à la fois captivante et mélancolique. C'est une réflexion sur les risques de l’amour et sur la fragilité des relations humaines.