Quand Marie

Daniel Guichard

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Quand Marie me sourit J'oublie que j'en ai marre De ces murs sales et gris Couleur de désespoir    Quand Marie me sourit J'oublie pour un instant J'oublie ce que je suis Moi qui ne suis rien pourtant Marie n'est pas princesse Ce n'est pas une déesse Mais quelque chose d'approchant C'est juste une pauvresse Qui prête sa tendresse Qui me prête son temps Quand Marie me sourit J'oublie les mauvais jours J'oublie les faux amis Les faux serments d'amour Quand Marie me sourit J'oublie que j'ai eu faim Que j'ai eu froid aussi En cherchant mon chemin   Marie n'est pas princesse Ce n'est pas une déesse Mais quelque chose d'approchant C'est juste une pauvresse Qui prête sa tendresse Qui me prête son temps, mais Quand Marie me sourit Je suis comme un enfant Un enfant en sursis Qui redeviendra grand Quand Marie me sourit Moi qui ne crois en rien Je re-crois en la vie Je re-crois en demain Marie c'est ma déesse Marie c'est ma princesse L'ange de mes tourments Marie c'est ma tendresse Marie c'est ma pauvresse Qui me prête son temps ...

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empty heart empty heart G, G6, D7, G7, C, Am7, Bm7, Em, D, D/C
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empty heart empty heart C, G, Am, E7, Dm, G7
La chanson évoque le pouvoir salvateur d'un sourire, en particulier celui d'une femme nommée Marie. Son sourire permet à l'interprète d'oublier ses peines, ses doutes et les difficultés de la vie quotidienne. Marie représente une présence réconfortante, une source de tendresse et de chaleur humaine qui transforme les instants de désespoir en moments de légèreté. Elle n'est pas issue de l'aristocratie ni d'un monde divin, mais c'est dans sa simplicité et sa bonté qu'elle apporte un répit salutaire. Le contexte de cette chanson semble évoquer une lutte personnelle contre la solitude et le désespoir. L'interaction avec Marie, bien que désignable comme une pauvresse, offre une perspective d'espoir et de rédemption, soulignant l'importance des relations humaines et des petits moments de joie dans une vie parsemée d'épreuves.