La ville

Daniel Darc

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(x2) La ville est pleine de gens La ville est pleine de méchants La ville est pleine de bruit La ville est pleine de cris                   La ville est pleine de flics La ville est pleine de trafic La ville est pleine de tueurs La ville est pleine de voleurs                    Mais qu'est-ce que ça peut faire Il n'y a que la ville pour me plaire  Oh ! qu'est-ce que ça peut faire     Juste la ville La ville est pleine de putes La ville est pleine de disputes La ville est pleine d'ordures La ville est pleine de blessures                   La ville est pleine de fous La ville est pleine de dégoût La ville est pleine d'ennui La ville est pleine de fusils                     Mais qu'est-ce que ça peut faire Il n'y a que la ville pour me plaire  Oh ! qu'est-ce que ça peut faire     Juste la ville   (Le brouillard sur la ville m'empêche de voir les yeux des filles Alors je pense qu'ils sont bleus  Je me souviens des tiens ouais Ils étaient bleus hum bleus)                       Mais qu'est-ce que ça peut faire Il n'y a que la ville pour me plaire  Oh ! J'en ai rien à faire     Juste la ville Qu'est-ce que ca peut faire (Qu'est-ce que ca peut faire)   u'est-ce que ca peut faire (x4)

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empty heart empty heart Em, B, F, C, A, D, Bm, E
empty heart empty heart Bb, Ab, F, Ebm, Db, Bbm, Gb, Fm
empty heart empty heart Am, Dm, Em, F, E
empty heart empty heart Fm, Bbm6, C7, Eb, Cm7, Bbm7
empty heart empty heart Bbm7, Fm7, Gbmaj7, Db, Ab, Gb
empty heart empty heart Am, F, G
La chanson dépeint une ville vibrante, animée, mais aussi sombre, remplie de personnes aux intentions douteuses et de situations difficiles. On y décrit un environnement où le chaos, la violence, et le désespoir abondent, avec une belle touche de nostalgie. Malgré ce tableau peu reluisant et tous ses désagréments, le protagoniste affirme un attachement profond à la ville, la considérant comme un lieu de vie unique, où chaque expérience, même douloureuse, contribue à son identité. Cet amour pour la ville, avec ses paradoxes, évoque un sentiment d'appartenance, comme si, malgré ses imperfections, il est impossible de s'en détacher. La mélodie et les paroles capturent cette dualité : une profonde connexion à un endroit qui, bien qu’imparfait, reste fondamental pour celui qui l’habite.