Le vent soufflait mes pellicules

Daniel Boucher

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Intro : Le vent soufflait mes pellicules tout partout dans l'air J'avais l'air d'avoir affaire avec un coiffeur preneur de pullule Dedans je sentais mes cellules tout partout sans faire S'ennuyer de demain ou d'hier Le temps, je le sais, je le sens me manipule J'avançais parti dans ma bulle fouillant mes tiroirs Y'a toujours des boîtes à défaire Y'a toujours des vieux bills qui s'accumulent Les chars m'envoyaient des granules Y faisait chaud pie noir J'avais pris quequ'chose comme 10 bières Le vent soufflait mes pellicules Le temps de chéké ma schedule chéké mon affaire J'avais fait 10 000 tours de terre gagnés, perdu une couple de nul Ma face de bummer funambule faisait peur au mère Des filles de famille nucléaire j'avais pas le profil pickle Oh oui Oh oui Oh oui Oh oui  Oh oui Ho oui Mais-en mais-en !   Se battre à défaire les formules s'approcher du père Dans son char vraiment pas chère se mettre chum avec ses mollécules C'est une chanson c'est une virgule c'est un temporaire Tout parti tout partout dans l'air Le vent soufflait mes pellicules Oh oui Oh oui Le vent soufflait mes pellicules Y'a toujours des boîtes à défaire Y'a toujours des vieux bills qui s'accumulent Se battre à défaire les formules s'approcher du père mais-en mais-en...

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Cette chanson évoque une réflexion sur le temps qui passe et les préoccupations quotidiennes. L'image du vent qui emporte des pellicules symbolise les pensées éphémères et les soucis qui nous accompagnent. On y trouve une sorte de désinvolture face aux défis de la vie, entre le besoin de défaire les vieux souvenirs et l'envie de se rapprocher de quelque chose de plus profond, peut-être même d'une figure paternelle. C'est un voyage à travers la légèreté et la complexité des expériences humaines, tout en cherchant un peu de sens dans le tumulte.