La folie en quatre

Daniel Bélanger

Transposer:

S'il fallait qu'un de ces quatre   Mon âme se disperse                Bien avant qu'elle ne s'écarte Du corps qui la berce              Qu'un de ces quatre, qu'un de ces jours, La Folie Wooo hou hou hou                           S'il fallait qu'à cause d'elle     Ton nom s'efface de ma mémoire             Que si facilement ma cervelle      Ce répète du matin    au soir              S'il fallait qu'un jour ce jour se jure de Ma folie En somme si mon âme oublie ton âme Et que mes yeux oublient tes yeux           Ce sera le fruit de la démence Et non la violence  d'un aveu              Alors avant qu'un de ces jours      la folie Je t'aime   (x6)

Du même artiste :

empty heart empty heart E, C#m, F#m7, B7, A, G#m, G, Bm, C, Am, D, Dm
empty heart empty heart Am, Bm7/4, C, Dm, Em7, Fm7, E, C/G, F
empty heart empty heart Gm, F, C, G7, D
empty heart empty heart Bm, A, D, D4, Em9, F#m, G
empty heart empty heart E5, E, F#m11, G, D, A, C, B, C#, F#, A4
empty heart empty heart Am9, Am, G, D, Am/B, C, C/D, C/E, E2
empty heart empty heart Am, Em, G, A, Gm, Dm, F, C
empty heart empty heart Em, D, A, C, G, Am
empty heart empty heart F, C, G, Dm, Am, A, Gm, Bb, Dm/C, Dm/Bb
empty heart empty heart Am6, F, G, E7/A, Am, G13, Cmaj7, B7/4, E7
La chanson évoque la peur de perdre un être cher en raison de la folie, d'une perte de repères. L'artiste exprime une angoisse profonde, craignant que son âme s’éloigne de celle de l’autre, rendant ainsi leur connexion fragile. Au fil des vers, il semble se poser la question de l’identité et de la mémoire, mettant en lumière la difficulté de vivre sans l’amour qui nourrit son existence. Dans ce contexte d’introspection, l’artiste cherche à affirmer son amour malgré les dangers que la maladie mentale peut représenter. Il souligne que, même si l’oubli devait survenir, ce ne serait pas par choix, mais plutôt une conséquence tragique de la folie. C'est un cri du cœur pour préserver la relation qui lui est si chère.