Étreintes

Daniel Bélanger

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Intro :                                               Si je me devais de choisir                 Pour une raison d'espace Un seul de mes souvenirs   Ce serait celui, de toute manière     De nos étreintes dans la mer   Si vous voyez que j'change mon visage              C'est le mille en plein février   Dans la grisaille des jours séniles   C'n'est pas que j'm'amuse de l'hiver J'pense à nos étreintes dans la mer Ouh !                              (x2)   À  nos étreintes dans la mer (Reprendre l'intro, 2x) Si vous croyez qu'à mon dernier sourire            C'était agité de lueurs   Singulière splendeur   Je dois ni au paradis, ni à l'enfer   Mais aux étreintes d'une femme dans la mer   Je dois ni au paradis, ni à l'enfer   Mais aux étreintes d'une femme dans la mer Ouh !                            (x2)   Aux étreintes d'une femme dans la mer Bm  [x24432] A   [x02220] D   [xx0232] D4  [xx0233] Em9 [022003] F#m [244322]

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Cette chanson évoque la nostalgie d'un amour passé, symbolisé par des souvenirs d'étreintes partagées au bord de la mer. L'artiste fait référence à un moment précieux qu'il chérirait au-dessus de tous les autres, malgré le froid et la grisaille qui l'entourent. Les émotions exprimées révèlent une quête de réconfort dans ces souvenirs, s'opposant à la monotonie des jours difficiles. Le contexte est celui d'un hiver morose, où le contraste entre la beauté des souvenirs amoureux et la rudesse de la réalité est particulièrement fort. Ces étreintes deviennent une source d'espoir et de réconfort, transcendant les notions de paradis et d'enfer, ancrant son bonheur dans la simplicité de ces moments partagés.