Il y a toujours une chanson
Dalida
Cette année-là c'était la guerre dans la gare du quai en pleurant Quand mon père embrassa ma mère je n'étais encore qu'une enfant Un âge où l'on ne comprend pas et l'on chantait cette année-là Et l'on chantait cette année-là Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire Cette année-là le mois de mai avec des drapeaux pleins le ciel Nous ramena ceux qu'ont aimaient mais pas celui qu'on attendait Devant ce monde fou de joie cachant nos larmes on chanta Ce qu'on chantait cette année-là Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire Cette année-là j'avais seize ans je portais encore des lunettes J'ai décidé en le voyant de les jeter par la fenêtre J'aimais pour la première fois et l'on chantait cette année-là Et l'on chantait cette année là Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire Les années suivent les années mais les chansons ne meurent pas Un jour ce fut ma grande année et c'est à vous que je la dois Car après m'avoir adoptée vous avez chanté avec moi Et l'on chantait cette année-là Mon petit Bambino Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire Il y a toujours une chanson accrochée à nos souvenirs Il y a toujours une raison, qu'elle nous fasse pleurer ou sourire...