Rien n'a vraiment changé
Da Silva
Tu te souviens comme t'étais belle, si belle les jours d'été Tu te souviens de la tonnelle, et du gout du pécher Et chaque jour tu reviens derrière la fenêtre La lumière, le jardin, rien n'à vraiment changé Tu te souviens de ces paroles, de tout ce qu'il disait Tu te souviens d'vos espérances après de long baisers Que la roue cette fois ne tournerait pas Les promesses après l'amour ne tiennent pas | | | | | | | | | Tu te souviens comme t'étais belle, si belle les nuits d'été Tu te souviens sous les lampions, au bal comme tu dansais Et chaque nuit tu reviens derrière la fenêtre Empreinte à jamais des vestiges du passé Tu te souviens des contre-jours, des contre l'amour Tu te souviens des mots si lourd et du pauvre crétin Qui jurait pour toujours entre tes reins Les promesses après l'amour ne tiennent pas Tu te souviens comme t'étais belle, si belle les jours d'été Tu te souviens de la tonnelle, et du gout du pécher Et chaque jour tu reviens derrière la fenêtre N.C. La lumière, le jardin Rien n'à rien n'a vraiment changé Rien n'à vraiment Rien n'à vraiment changé, changé Je ne sais rien Comme t'était belle, tu étais belle Je me souviens, je me souviens Des jours d'été | | |