Le jeu
Da Silva
| | | | | (x2) Autrement dit, le foyer est ruiné Et je lis entre tes lèvres qu'il n'y a plus de sursis Qu'une lourde peine A quoi l'on joue, et à quoi ça rime ? Si chaque jour sur tes joues, coule le rimmel Si chaque nuit je manque à l'appel Je suis parti pour perdre encore quelques années A tout casser, j'aurai gagné ton mépris Je suis parti pour perdre quelques années A tout casser, j'aurai gagné ton mépris | | | | | | | | | Avec rien dans les poches, je parie sur le carreau Et me couche sur du noir, sûr la chance me fait défaut Des fausses joies, de faux espoirs Des fautes, des faux, je tombe Je racle les fonds d'tiroirs et je tourne mes talons Je suis parti pour perdre encore quelques années A tout casser, j'aurai gagné ton mépris Je suis parti pour perdre quelques années A tout casser, j'aurai gagné ton mépris | | | | | | | | | | | | | Et je n'ai plus la main.