Inutile

Cou coupé

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Vive les choses inutiles vive les flâneries vaines ni à tante Annie, attente tout est si sérieux c'en devient très malsain et vive les chansons bavardes qui ne mènent à rien des chirurgies inutiles fouille encore mon coeur pour t'y trouver c'est sûr comme un murmure et vive la glace vive emportant tes patins en douceur sur l'autre rive ou je t'espère en réchauffant mes mains

Du même artiste :

Au moins il pleut

Em, G, D/F#, D, Bb

Juillembre

Em, G, C, E, F#, B, F

Des savons sales

C, F, Dm, Bb, G

Cette chanson célèbre les moments de légèreté et les plaisirs simples de la vie, en opposition à la gravité du quotidien. Elle évoque l’idée que certaines choses apparemment inutiles, comme flâner ou écouter des chansons sans but précis, apportent une certaine douceur et une forme de répit. L’artiste s’interroge sur notre quête incessante de sérieux et nous invite à savourer les petites parenthèses de bonheur. Le contexte semble être celui d'une réflexion sur notre tendance à négliger ces instants légers dans un monde souvent trop sérieux et exigeant. Cette célébration de l’insignifiant résonne avec ceux qui cherchent à trouver du réconfort et de la chaleur dans les petites joies de la vie quotidienne.

Le Chansonnier