Des savons sales

Cou coupé

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Une pente abrupte Un putois sous un troupeau d'pneus Ma cavalerie tarde des tas de salves à venir     Puis j'en suis quitte pour un faux départ d'ambulance Ma sirène se farde File indienne m'amusait de cire      Pendant que des savons sales sont lancés ooh ooh noyés moi l'accotement me presse j'ai une abeille dans mon full-face L'envie me quitte et vient m'accrocher à sa tuque Allonger l'aile en préfini d'un chevet d'en finir La vie me quitte le vent s'essouffle sur ma nuque le vent s'essouffle sur ma nuque le vent s'essouffle sur ma nuque Pendant que des savons sales sont lancés ooh ooh noyés moi l'accotement me presse j'ai une abeille dans mon full-face

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empty heart empty heart

Au moins il pleut

Em, G, D/F#, D, Bb
empty heart empty heart

Inutile

C, Am, A, F#m, E, G, F
empty heart empty heart

Juillembre

Em, G, C, E, F#, B, F
La chanson évoque une situation de désespoir et de confusion. Le narrateur se trouve dans une sorte de course contre la montre, avec des éléments chaotiques qui l'entourent, comme un groupe de pneus ou une sirène d'ambulance. Il ressent un mélange de pression et d'abattement, illustré par l'image d'une abeille dans son casque, symbole de ce qui le perturbe. Tandis que des objets sales sont jetés autour, il est pressé par le temps et la situation qui lui échappe. Le contexte semble dépeindre une expérience urbaine, presque un cauchemar, où la vie moderne et ses imprévus le submergent. Cela ajoute une dimension à la lutte personnelle du protagoniste, partagé entre le besoin d'agir et le poids de l’angoisse qui l'étreint.