Les gauloises bleues

Clou

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On fumait des gauloises bleues La la la  Les beaux jours.            On fumait des gauloises bleues Qu'on coupait souvent en deux La la la, les beaux jours Les petites femmes de Paris montaient sur nos balcons Voir si les fleurs du mal poussaient encore en  cette saison    Au café du "Bas de laine" Parfois je voyais Verlaine La la la    Les beaux jours. Et Rimbaud qui voyageait au-dessus des printemps Nous disait du haut de ses nuages d'où venait le vent   Oh, les beaux jours (bis) Dylan, cultivait sa terre Quelque part en Angleterre La la la,  les beaux jours Jefferson Airplane s'installait à la Présidence Car les anciens rois du monde venaient d'interdire  la danse. Plus de boutique à music-hall Au boulevard du rock'n'roll La la la      Les beaux jours. Le temps a passé et court-circuité les amplis Bruno maintenant joue d'l'accordéon dans les rues d'Clichy. Oh, les beaux jours X 4 Boris, inventait le jazz Tous les soirs au bal des Laze La la la    Les beaux jours. Et sa trompinette mettait le feu aux lampions Duke Ellington arrivait juste à temps pour la Ré-vo--lution. On fumait des gauloises bleues Qu'on coupait souvent en deux La la la,  les beaux jours Les petites femmes de Paris montaient sur nos balcons Voir si les fleurs du mal poussaient encore en  cette saison. Oh, les beaux jours (x4)

Du même artiste :

empty heart empty heart

Cesse, cesse

Em, D, C, G
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Éternel épris

Dm, G7, C, Am, Em, G
Cette chanson évoque des souvenirs nostalgiques d'une époque passée, où l'on fumait des cigarettes tout en savourant la légèreté de la vie. Les petites femmes de Paris se joignaient à cette ambiance bohème, cherchant des réminiscences de beauté dans le quotidien. Le narrateur se remémore des moments passés dans des cafés, côtoyant des figures littéraires célèbres, tout en s'intéressant à la culture musicale qui était alors en plein essor. Le contexte se déroule dans un Paris créatif, entre poésie, musique et influences diverses, où les artistes se réunissent pour discuter de l’art et de la vie. On y retrouve une célébration d'une époque où la liberté et l'insouciance régnaient, avant que le temps ne vienne apporter son lot de changements. Les références aux icônes de la musique et de la littérature renforcent ce sentiment de communion entre l'art et la vie, où chaque instant semble gravé dans la mémoire collective.