Florence
Claude Barzotti
Elle avait la couleur du ciel au fond des yeux Et des brises d'ailleurs caressaient ses cheveux Elle avait la richesse des secrets féminins Elle avait la tendresse dans le creux de sa main Y avait une musique qui jouait dans son cœur Elle était romantique et croyait au bonheur Elle avait l'innocence d'une fille à quinze ans Mais savait les nuances que l'on sait à trente ans Florence, Florence, ton sillage s'efface Florence, je cherche encore ta trace Florence, je pense encore à toi Tu danses encore en moi Je pense encore à nous Elle avait fait de moi un amoureux docile Don Juan d'autrefois redevenu fragile Elle était davantage qu'un Refrain de "Je t'aime" J'étais devenu sage, bien finie la bohème Elle sentait l'Italie, la garrigue et le thym Elle veillait mes nuits, s'endormait au matin Elle avait la pudeur d'une fille, d'une enfant Mais savait les douceurs que l'on sait à trente ans Mmm, Florence, Florence, ton sillage s'efface Florence, je cherche encore ta trace Florence, je pense encore à toi Tu danses encore en moi J'y pense encore Florence, Florence, ton sillage s'efface Mmm, Florence, je cherche encore ta trace Florence, je pense encore à toi Tu danses encore en moi J'y pense encore Florence, Florence, ton sillage s'efface Mmm, Florence, je cherche encore ta trace … (ad lib)