Aline
Christophe
J'avais dessiné sur le sable son doux visage qui me souriait Puis il a plu sur cette plage, dans cet orage, elle a disparu Et j'ai crié, crié : Aline pour qu'elle revienne Et j'ai pleuré, pleuré, oh ! j'avais trop de peine Je me suis assis auprès de mon âme, mais la belle dame s'était enfuie Je l'ai cherchée sans plus y croire, et sans un espoir, pour me guider Et j'ai crié, crié : Aline pour qu'elle revienne Et j'ai pleuré, pleuré, oh ! j'avais trop de peine Je n'ai gardé que ce doux visage comme une épave sur le sable mouillé Et j'ai crié, crié : Aline pour qu'elle revienne Et j'ai pleuré, pleuré, oh ! j'avais trop de peine Et j'ai crié, crié : Aline pour qu'elle revienne Et j'ai pleuré, pleuré, oh ! j'avais trop de peine ... (Ad libitum)