Toi, tu pars
Cephaz
| | | | | Parfois on s'met des coups d'fatigue Des coups de blues au bout des doigts D'abord c'est simple puis ça se complique Comme des tas d'espoirs qui n'avancent pas Si rien ne change, que tout le monde s'en fout Qu'il n'y a plus un ange dans ce monde fou J'achèt'rai des ailes en polystyrène Pour que tu t'envoles depuis la Tour Eiffel Toi, tu pars et moi, je reste ici Toi, tu pars et moi, je reste ici, ici, ici | | | | | Quand on prend trop de faux départs On n'voit pas la ligne arriver Partir trop tôt, c'est déjà trop tard Et on finit disqualifié Si rien ne change, que tout le monde s'en fout Qu'il n'y a plus un ange dans ce monde fou J'achèt'rai des ailes en polystyrène Pour que tu t'envoles depuis la Tour Eiffel Toi, tu pars et moi, je reste ici Toi, tu pars et moi, je reste ici, ici, ici | | | | Toi, tu pars et moi, je reste ici Toi, tu pars et moi, je reste ici, ici, ici, ici ||||| |||| Toi, tu pars et moi, je reste ici (Toi, tu pars et moi je reste) Toi, tu pars et moi, je reste ici, ici, ici, ici (Toi, tu pars et moi je reste)