La 6/49

Cayouche

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Par chez nous y'a des pêcheurs Mais y'à pus d'poisson asteur Quand s'qui pêchait c'tais pas pour le fun Asteur les seules qui pêche ces les autoctone Vive les danseuses les machines à poker Avec ça la vie moin tof si on voulait Pus travailler pis on gagnerai tous la 6/49 Quand's les vieux montais dans l'bois Pour bucher pour trois quatre mois Une piase et cinq la corde plumées Asteur ses 2500 piase pour un érable piqué Vive les danseuses les machines à poker Avec ça la vie moin tof si on voulait Pus travailler pis on gagnerai tous la 6/49 Aujourd'hui y'a pus d'missaire Les cartes de credit pis les caisses populaire Des gros building sont pleine d'argent Mais faut pas qu'tu manques un p'tit payment Vive les danseuses les machines à poker Avec ça la vie moin tof si on voulait Pus travailler pis on gagnerai tous la 6/49 Gouvernement veut toute arrêter Avec leux police pour nous chaiser Arrêter boire arrêter fumer Mais faut pas qu'on n'arrête de voter pour z'eux Vive les danseuses les machines à poker Avec ça la vie moin tof si on voulait Pus travailler pis on gagnerai tous la 6/49 Vive les danseuses les machines à poker Avec ça la vie moin tof si on voulait Pus travailler pis on gagnerai tous la 6/49

Du même artiste :

Cette chanson évoque une nostalgie pour le passé où la vie semblait plus simple, avec des pêcheurs qui ne pêchaient pas seulement pour le plaisir, mais aussi pour gagner leur vie. Aujourd'hui, les temps ont changé : les opportunités se sont raréfiées, et le travail est devenu compliqué et moins rémunérateur. On mentionne aussi la modernité avec des machines à poker et des enjeux financiers, suggérant que beaucoup préfèrent espérer gagner à la loterie plutôt que de travailler dur. À travers ces paroles, on ressent un certain ras-le-bol face à un monde où les anciennens méthodes de subsistance sont remplacées par une réalité où l’argent et les crédits dominent, tout en dénonçant la manière dont le gouvernement impose des restrictions.