En apesanteur

Calogero

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J'arrive à me glisser Juste avant que les portes ne se referment Elle me dit "quel étage" Et sa voix me fait quitter la terre ferme Alors Les chiffres dansent Tout se mélange Je suis en tête à tête avec un ange       En apesanteur       pourvu que les secondes soient des heures       En apesanteur       pourvu qu'on soit les seuls       dans cet ascenseur Elle arrange ses cheveux j'ai le coeur juste au bord des yeux et sans la regarder je sens la chaleur d'un autre langage alors les yeux rivés      sur les étages pourvu que rien n'arrête le voyage       En apesanteur       pourvu que les secondes soient des heures       En apesanteur       pourvu qu'on soit les seuls       dans cet ascenseur j'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se referment       En apesanteur       pourvu que les secondes soient des heures       En apesanteur       pourvu qu'on soit les seuls       dans cet ascenseur       En apesanteur       pourvu que les secondes soient des heures       En apesanteur       pourvu qu'on soit les seuls       dans cet ascenseur

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La chanson évoque un moment suspendu entre deux personnes dans un ascenseur, où le protagoniste se sent flottant, presque dans un rêve. Il se laisse emporter par la beauté de l’instant, le temps semblant s’étirer à mesure qu’il partage une connexion spéciale avec cette femme. Les échanges de regards et les gestes subtils créent une atmosphère de complicité, rendant ce bref trajet chargé d’émotions et de promesses. Le contexte semble banal – un simple ascenseur – mais il se transforme en un espace intime où le quotidien devient extraordinaire. Chaque seconde prend une dimension particulière, comme si la vie pouvait s’arrêter pour permettre de savourer cette présence. C’est une belle métaphore des instants fugaces qui peuvent changer notre perception du temps et des relations humaines.