Les airs empruntés

Café Bertrand

Transposer:

Couplets : alterner avec et Prends les airs que tu veux mais n'oublies pas d'emprunter    Le loup sur les yeux et lâches toi pour épier                 Me croire moitié aveugle, je te voyais traverser les pistes   Claquer ta vie a rang fixe, c'que t'es belle quand tu beugles Mais tu sais très chère, que malgré tous les prix Tes charmes dits salutaires valent tout juste un soucis Je laisse les banderilles se planter où bon leur semble en plus Je regarde les taureaux tomber mais ne tremble pas plus Et je donne des coups de tête en l'air Et regarde, l'imposture Apprécies la mélodie d'enfer La dernière avant la rupture Moi je laisse les banderilles se planter ou bon leur semble en plus, en plus ! Je lâche les rênes et jette toutes les couronnes Seul volontaire à toujours tout vouloir couper en deux À coup de sabre, elles voient elles, qu'on sonne Mais pas de volontaire, que nenni, pour tes beaux yeux Avec un regard entrouvert à demi, je t'abandonne encore Cinq ans et demi, à la merci des visions illusoires Tout le temps J'ai laissé ses airs à césar et foutu le camp Et je donne des coups de tête en l'air Et je garde la posture Apprécie la mélodie d'enfer La dernière avant la rupture Moi je laisse les banderilles se planter Ou bon leur semble en plus, en plus

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La chanson évoque une quête de liberté et d'authenticité, où l'interlocuteur semble encourager une expression sans retenue, même face aux épreuves et aux faux-semblants. Les paroles suggèrent une manière de vivre à contre-courant, en laissant place à la spontanéité et à l'expression personnelle, tout en mettant en lumière les illusions que l'on peut rencontrer. Il y a une tension entre abandon et liberté, et une réflexion sur les relations et les désillusions qui en découlent. Dans un cadre qui semble naviguer entre l'intime et le social, l'artiste s'inspire probablement d'un combat à la fois personnel et universel, évoquant la lutte pour se libérer des attentes et des normes. Cette exploration résonne avec l'expérience de chacun, celle de vouloir se défaire des entraves pour embrasser pleinement sa créativité et sa vérité.