Mon amour, qui l'eut cru

Bruno Romary

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Intro : (x2)   A l'heure où la nuit devient noire   Où la lune devient magnifique   Je serre très fort les mâchoires   Mes rêves pendus au portique   Comment suivre la trajectoire   Sans écorcher la sémantique ?   Cette fois-ci, pas d'échappatoire   Tout est par terre à la fabrique Bang, bang, mon âme est perdue   Toute mon âme est perdue   Oh, mon amour, qui l'eut cru ? Bang, bang, mon âme est perdue   Toute mon âme est perdue   C'est fini, n'en jetez plus ! Rendez-vous sur le champ de foire Quand le crépuscule est magique Captivant tout son auditoire Dans sa sublime rhétorique La tête entière dans l'abreuvoir Pour faire mentir les statistiques Pas de mesures conservatoires Juste un peu d'air, rude logique Bang, bang, mon âme est perdue Toute mon âme est perdue Oh, mon amour qui l'eut cru ? Bang, bang, mon âme est perdue Toute mon âme est perdue C'est fini, n'en parlons plus ! Bang, bang...         Oh, Bang, bang...        Bang, bang, mon âme est perdue Toute mon âme est perdue Oh, mon amour qui l'eut cru ? Bang, bang, mon âme est perdue   Oh, oh.. Oh, oh, Bang, bang

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La chanson évoque une lutte intérieure, où l'âme du narrateur semble perdue, comme si chaque battement résonnait avec un écho de désespoir. À travers des images puissantes liées à la nuit et aux rêves, il décrit un sentiment d'impuissance face à une réalité troublante, où les attentes s'effondrent et où la magie des moments s'avère éphémère. Le personnage semble confronté à un choix, tiraillé entre l'idée de l'amour et la douleur de la perte, s'interrogeant sur ce qui a pu le mener à cette situation. Cette ambiance nocturne, où le crépuscule apporte à la fois mystère et mélancolie, accentue le drame de cette quête intérieure.