Ça va ça va ça va ça va

Bertrand Belin

Transposer:

[Accords notables] D/A   x0023x Amaj7 x02120 A/C#  x4222x (x2) Certains jours Il tombe mal   L'hiver Il tombe sur son grand côté Là, je vais m'allonger  là Dans ce parc         Fermé Un feu Rien qu'à soi     Déplier les doigts Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Aller        Certains jours Tout me tombe  des mains Couteau,  rouge, allumettes Certains jours On ne retrouve Rien Rien de sec          Rien Un feu Rien qu'à soi     Déplier les doigts Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Ça va ça va ça va ça va Aller        (x2)

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Y en a-t-il ?

Am, B, C, F, G, Em, F#
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Ajournement, L

D, F, C, Am7
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Pauvre Grue

Amaj7, Dmaj7, F#m, E, G#m, A, B, F#
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Lentement

A, G, Em, B, G#m7, F#, E
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Aller sans but

A, Bm, E, B, G, F#
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Nuits bleues

D, A, C, G, Bm, E7, Amaj7/4
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Quelque chose rouge

E7, E, C#m7, Fmaj7, Cmaj7, Am7, Amaj7
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Le colosse

D, A, Db, Bm, Gm, G, F#m
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Tambour

F6/9, Bb6, D/A, G, D, C, Fmaj7
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L'opéra

F#m7, C#m, G#m, C#m/E, Emaj7
La chanson évoque la mélancolie qui peut s'installer certains jours, lorsque rien ne semble aller comme prévu. Elle décrit des moments de solitude et de désarroi, où même les gestes quotidiens deviennent difficiles. L'image d'un feu, symbole de réconfort et de chaleur, est présente, reflétant le besoin de se reconnecter à soi-même dans ces instants de confusion. À travers des répétitions, elle laisse transparaître une légèreté qui permet de surmonter les difficultés. Cela donne une impression de résistance, d’un retour à la sérénité après des moments troubles.