Attila Marcel

Benoît Charest

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Intro : Moi mon homme c'est un vrai C'est un dur un balaise Je vois la mort de près Dedans ses yeux de braises Il me fait ce que personne n'ose Il couvre mon corps d'ecchymoses Il m'assome  il m'poche les yeux Il m'fait la vie en bleu Moi mon homme il me botte Y'en a pas deux comme lui C'est pas de la gnognotte Trois cent vingt livres et demi Il me sert si fort dans ses bras Que mon souffle ne repousse pas Il est barbare  il est cruel Mon Attila Marcel J'irai retrouver sa lumière Avec une croix de Dieu le père Et je resterai sonner jusqu'à Paques Au paradis des têtes à claques Moi mon homme c'est un vrai C'est un dur un balaise Je vois la mort de près Dedans ses yeux de braises

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La chanson évoque une relation tumultueuse et passionnée entre deux personnes. La narratrice parle de son homme comme d'une figure à la fois forte et brutale, qui l'impressionne par sa virilité et son intensité. Elle ressent une sorte de mélancolie face à cette passion, où l'amour se mêle à la douleur. Les images de blessures et d'emprise physique soulignent un lien complexe, entre attraction irrésistible et souffrance. Le passage final mentionne un désir de transcendance spirituelle, avec une référence à la lumière divine et à l'espoir d'un au-delà, ce qui ajoute une dimension profonde à leur histoire. Ce mélange de passion terrestre et d'aspiration spirituelle met en lumière la dualité de leur relation.