Un Dernier Verre (pour La Route)

Beirut

Transposer:

             Come sit at the table Under October’s able skies              Once we’d seen eye to eye I’d known that I’d pass you by and I tried            The bells chime Seven times Completed at nine The world moves slower I find       No but I Learned of time By your hands And in shallow waters’ end I learned not to swim but to lie          I’ll wait for now ’Til it’s ready to burn out I insist on doubts We’re already lying on the glass The glass   /u>   

Du même artiste :

empty heart empty heart Dm, A, Bb, C
empty heart empty heart F#, B, E
empty heart empty heart F#, B, E, G#m
empty heart empty heart E, D, Am, B7, Em
empty heart empty heart Dm, Gm, F
empty heart empty heart Bbm, Eb7, G#, Db
empty heart empty heart F#, E, Ebm, G#m
empty heart empty heart Gm, Dm, Bb, A, C
empty heart empty heart Em, A7, D, G, G/F#, C, C/B, Am
La chanson évoque une rencontre nostalgique, où le narrateur se remémore des moments passés partagés avec une personne chère. Il réfléchit sur la nature du temps et des relations, tout en se sentant pris dans une sorte d'immobilisme. Les cloches qui résonnent à intervalles réguliers symbolisent le passage du temps et les souvenirs qui refont surface, tandis que les références à l'eau et à la fragilité des verres renvoient à une réalité où l'absence de véritable profondeur se fait sentir. Le contexte semble inscrit dans une atmosphère d’automne, où la beauté des jours qui passent invite à une introspection sur les choix et les doutes. Cette période de transition est propice à la réflexion, et les paroles tissent un lien entre le présent et le passé, évoquant une envie de toucher quelque chose de précieux avant qu'il ne s’éteigne.