Hémophile

Bb Brunes

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Quand la nuit tombe sur la ville J'traîne ma carcasse d'hémophile. Dans mon deux places bat-mobile Je croise des faces &; des piles. J'aime surtout faire le long de mon cou pleurer les sottes. Je prends des coups c'est vrai souvent l'addition est salée. Mais laissez Ah laissez. Je cogne au cognac je me bile  Je craque mon battement de cils J'aime sur faire le long de mon cou pleurer les sottes. Je prends des coups c'est vrai souvent l'addition est salée. Mais laissez oh laissez. J'fais la grimace j'ai du style. J'traîne en terrasse hémophile. Ce soir les quais je suis okay Pour le hoquet toute la nuit Traqué au troquet truquer l'ennui. Quand l'ennui tombe sur la ville J'traîne ma carcasse d'hémophile. Mais j'aime surtout faire le long de mon cou pleurer les sottes. Et je prends des coups c'est vrai souvent l'addition est salée. Mais laissez Ah laissez.

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La chanson raconte l’histoire d’un protagoniste qui, la nuit, erre dans une ville qu’il connaît bien, traînant avec lui un sentiment de vulnérabilité. Il se décrit comme une sorte de blessé émotionnel, prenant des coups tout en tentant de s’en accommoder. Malgré les difficultés, il trouve une sorte de répit dans l'alcool et les interactions avec les autres, tout en se débattant avec l’ennui et la mélancolie. Dans un cadre urbain, il navigue entre les rencontres et les moments de solitude, exprimant un désir de lâcher prise malgré les conséquences de son mode de vie. La ville nocturne devient un miroir de ses émotions, où chaque geste et chaque rencontre soulignent sa lutte intime.