La joconde

Barbara

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Mesures à 3 temps (Tacet) C'est moi que j'suis la Joconde. Je suis connue par le mon-onde. Au Louvre où la foule abonde Pour me voir, on fait la ronde Et moi, faut que j'me morfon-onde, La Joconde, La Jocon-onde. Et moi, faut que j'me morfonde, La Jocon-onde, la Jocon - de. C'est moi que j'suis la Joconde. Léonard me crut gironde. Va, quand Léonard vagabonde ! Mais que voulez-vous qu'on réponde? C'est vrai, j'suis pas trop immonde, La Joconde, la Joconde. C'est vrai, j'suis pas trop immonde, La Joconde, la Joconde. C'est moi que j'suis la Joconde. Que de mots vains, on m'inonde. Critiques, artistes abondent En intarissables facondes. Plusieurs milliers par seconde Disent: "La Joconde! Ah! La Joconde. V'nez voir le sourire de la Joconde. C'est le plus beau du monde, la Joconde." C'est moi que j'suis la Joconde. Mon sourire vient d'outre-tombe. Attendez que l'vernis tombe ! Attendez la fin du monde ! Et je sourirai sous les bombes, La Joconde, la Joconde, Je sourirai sous les bombes, La Jocon-onde, La Jocon-on-onde        

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empty heart empty heart F, A7/E, Dm, A7/C#, C7, C, F#m7, Bm7, E7, Amaj7, Am7, Dm7, G7, E, E4, Dbmaj7
empty heart empty heart C#m, G#, Cm, G, Eb, G7, G#7, E
empty heart empty heart Am, Dm, E7, A, F#m7, Bm7, C, Dm7, G7, Em, B7
empty heart empty heart Am, D, F, E, E7
empty heart empty heart Am/C, Cmaj7, C, Dm, G/D, Cmaj7/B, D7/F#, G, G7, Dm/C, Dm/A, Fm, Fm/E, Fm/D, Fm/C, D7, Dm/B
empty heart empty heart Abm, Eb7, C#m7, F#7, B, Bmaj7, Bbm, E, Eb, Am, B7, Cmaj7, D7, G, C, Dm7, G7, F, F#, E7, Dm, A, Cm, Gm, C7, Bb
empty heart empty heart C, F, B7, E, A, Dm, Gm7, Cm7, F7, Dm7, Cm, Fm7, Ab, G7, Gm, D7, D, Em, Eb, Bb7, Eb7, A7, G, C#, Cmaj7
empty heart empty heart Fm, Bbm, Eb7, Ab, Am, Dm, /D, /C, /B, G7, C, E7, /E, Bbm7, Eb, G, C7
empty heart empty heart Fm, Bbm, Eb, Ab, G#m, C#m, F#, B, D#7, A#7, D#, F#m, Bm, E, A, Gm, Cm7, F, Bb
empty heart empty heart Cm, Gm, Fm, C7, Bbm, Eb7, G#, G, F#m, Bm, E7, A, Db7, F#, G#7
La chanson évoque le célèbre tableau de Léonard de Vinci, en se mettant dans la peau de la Joconde elle-même. Elle parle de la célébrité de son sourire, qui attire des milliers de visiteurs au Louvre, tout en exprimant une certaine mélancolie face à sa condition d'œuvre d'art figée, observée et commentée par tous. Le texte joue avec l'idée de la renommée, de l'immobilisme et des attentes qui l'accompagnent. L'artiste fait allusion à la manière dont son sourire, bien que célèbre, semble provenir d’un autre temps, ayant même une essence presque mystique. Le tout est saupoudré d'un humour subtil, où elle se demande ce qu'il en est vraiment de sa beauté au milieu de toutes ces appréciations et interprétations.