Jamais plus mort

Avec pas d'casque

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Blason de feu ou de jachères Guide le pieu, glisse à travers Mon attirail et mon barda Je ne serai jamais plus mort que ça Je ne serai jamais plus mort que ça Quand les nouvelles ne sont pas bonnes Et celles qui viennent sont encore pires Quand la douleur enfonce sa botte Dans le ventre de ton chien de fusil Dans le ventre de ton chien de fusil Je ne serai jamais plus mort que ça Le poison coule dans mes gouttières Et je ne goûte plus comme avant Plie mes bagages à coups de pelle J'ai fini d'arpenter le temps J'ai fini d'arpenter le temps Tu peux comprendre ce qui agite Le corps d'un Homme perdu d'avance La vie qui passe et nous habite Finit toujours par se déprendre Finit toujours par se déprendre Embrasse-moi de bord en bord Avant que ne rouille l'amanchure Qui me sert de moyen d'transport Embrasse-moi jusqu'à l'usure Embrasse-moi jusqu'à l'usure

Du même artiste :

Deux doigts pris au fond d'la gorge

G, A, C, Bb, Ab

L'amour passe à travers le linge

G, D

Joël fait dire

Bb, Bbm, F, G, Gm, Gm7

Un nez qui saigne

D, A, G

Loup-garou

A, F#m, C#m, Bm, E, D

Audrey est plus forte que les camions

C, E, F, G

Débouler ensemble

A, c#, F#m, E, C#, D

Apprivoiser les avions

D, F#, G, E, C, F, Am, Bb

Chaloupe

Eb, E, B, F#m, A

Hu-hum

C, Dm

La chanson évoque une lutte intérieure face aux épreuves et aux souffrances de la vie. L'artiste parle de la douleur et des mauvais moments qui semblent s'accumuler, tout en gardant une certaine résilience. Il exprime un sentiment de fatigue face à cette lourdeur existante, mais aussi un désir de connexion humaine, comme en témoigne l'appel à être embrassé, avant que le temps ou les circonstances ne ternissent davantage les choses. Dans un contexte plus large, on pourrait penser à la quête de sens dans un monde souvent difficile, où les bonnes nouvelles se font rares. Le propos semble résonner avec ceux qui se sentent accablés par les défis de l'existence tout en cherchant à maintenir un lien authentique avec les autres. La chanson traduit cette ambivalence entre la résignation et l’espoir d’un réconfort partagé.

Le Chansonnier