Faire l'étoile et caler quand même

Avec pas d'casque

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(Tempo :65) Riff #1 : ↓ ↓ ↑ ↓ ↓ ↑ Riff #2 : ↓ ↓ ↑ ↓ ↑ ↓ ↑ (identifié par *) (x2) Il n'a pas fait si clair depuis soixante-treize Depuis mille-neuf-cent-douze c'est un record de beauté Condition idéale, un ciel de mayonnaise Un ciel de mayonnaise un repère de fusée (Refrain) Faire l'étoile et caler quand même ↓ ↓ ↑ OU OU ↓ ↓ ↑ OU OU OU ↓ ↓ ↑ ↓ ↑ ↓ ↑ OU OU J'arrivais avec une, une sorte de fatigue Une sorte de fatigue dix milles ans de course à pied Ton bouquet de brouillard dans mes yeux de paniques Dans mes yeux de paniques le signal est trop fort (Refrain) De tous les bords de tous les côtés ce dégât est le mien J'avais besoin de tout risquer t'avais comme envie de rien (Refrain) Tu m'enverras une carte, ou une tasse souvenir Ou une tasse souvenir de la cote magnétique Tu entendras ma voix, crier des choses simples Crier des choses simples, crier des choses simples (Refrain) (2x)

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Dans cette chanson, l’artiste évoque un mélange de nostalgie et d’émerveillement face à la beauté du ciel, à des temps passés où tout semblait plus lumineux. Il parle de sa fatigue, une lassitude accumulée au fil du temps, tout en décrivant une certaine panique, symbolisée par un brouillard dans ses yeux. Les moments de vulnérabilité se mêlent à des réflexions sur le risque, soulignant le besoin de se libérer et d'oser, même lorsque l'envie semble absente. Le tableau peint par ces paroles évoque une quête d'authenticité et de connexion, un appel à se souvenir des choses simples tout en naviguant à travers les complexités de la vie. Les références à des souvenirs matériels comme une carte postale ou une tasse ajoutent une touche personnelle à cette exploration.