En toute frivolité

Aubancien

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En boucle : C'est l'histoire d'une histoire Qui commença un soir Dédié au roi René Joutes, théâtre d'été Improbable rencontre Tendre parfum de honte C'est sans doute son charme Qui fut mon plus grand drame Les deux voix résonnèrent En moi tonitruèrent De l'ange ou du démon Nul conseil n'était bon Je confiais à ses yeux Le choix des âmes en feu La bonne comédienne Écarlate, feint la gêne Lorsque la bouche ne s'ouvre Que pour clore le discours On s'enrôle, on y croit Baisers de cinéma Coupe-gorge, minuit sonne Le réverbère bâillonne Par sa candeur opaque Mes pas feutrés patraques Je cherche son logis Ivre d'elle et de nuit C'est une dépendance Romantique pénitence Moite course à l'abysse Château baigné de vices Tu vis en moi Musset Tu me flattes, je me tais... Ma place n'était pas là Explorant le sofa De tes caprices-résille D'un idéal-guenille Il existe un enfer De mondes à l'envers J'entonne le récital Pour une sirène fatale D'amour je tombe pour elle La mort attend mes ailes Si toutefois je reviens Pour un autre matin Car elle m'a bien menti En disant "One, only" Les faux célibataires Traitent le cœur au cautère...

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Cette chanson évoque une histoire d'amour complexe, marquée par des rencontres inattendues sous les étoiles, où le charme et la honte se mêlent. Le protagoniste se laisse emporter par des émotions contradictoires, entre passion et désespoir, symbolisées par des figures telles que l'ange et le démon. On y ressent une tension entre le désir et la réalité, teintée d'une certaine mélancolie, alors qu'un amour toxique semble mener à une spirale infernale. Le contexte dépeint une atmosphère nocturne, presque théâtrale, où les faux-semblants et les illusions s'invitent à chaque coin de rue. Les personnages naviguent entre la réalité et l'imaginaire, s'engouffrant dans des passions fugaces mais dévastatrices, comme si la nuit révélait autant de promesses que de dangers.