El Arriero

Atahualpa Yupanqui

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En las arenas bailan los remolinos   el sol juega en el brillo del pedregal   y animando a la tropa por los caminos   el arriero va el arriero va . . .      es bandera de niebla su poncho al viento   lo saludan la flautas del pajonal   y animando a la tropa por esos cerros   el arriero va el arriero va . . .   Las penas y las vaquitas se van por la misma senda   las penas y las vaquitas se van por la misma senda   las penas son de nosotros las vaquitas son ajenas   las penas son de nosotros las vaquitas son ajenas.   En                                   Un degüello de soles muestra la tarde   se apagaron las luces del pedregal   y animando a la tropa dale que dale   el arriero va el arriero va . . .    ¡ay malaya! la noche traiga recuerdos   que hagan menos pesada la soledad   como sombra en la sombra por esos cerros   el arriero va el arriero va.   Las penas y las vaquitas . . .etc.

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Dans cette chanson, le personnage principal, un arriero, avance avec sa troupe à travers les paysages d’Argentine, décrivant le mouvement des vents et l'interaction entre son chemin et les éléments naturels. Il évoque les peines de la vie, comparant celles-ci à des vaches qui lui sont étrangères. Les soucis l’accompagnent, tout comme la beauté du monde qui l’entoure. Dans le cadre d’un paysage rural empreint de mélancolie, l'arriero continue sa route, soutenu par la musique des flûtes et le souvenir apaisant de ses errances. Le contexte évoque la vie des hommes qui mènent des troupeaux à travers des terrains arides. C'est un voyage symbolique, représentant à la fois des luttes personnelles et une communion avec la nature, où les défis et les joies se mêlent. La simplicité du quotidien des arrieros est mise en lumière, révélant une existence marquée par l'effort et la mélancolie.