L'été revient

Archimède

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Intro : Est ce que la donne aurait enfin changé ? Je m'allonge à l'avenant, Des journées rallongées L'été répand son ciel étoilé, Au dessus des passants Et l'amour Ézéchiel, Ça fait longtemps qu'on l'attend Ça fait longtemps qu'on l'enterre [Refrain :] L'été revient, débonnaire, J'irai bien divaguer prendre l'air Et les trains dévaler enfin la grève Et demain je pars à Colleret tel Un félin libertaire Sur les toits parisiens libres comme l'air   Et les chiens me regarderont faire Prendre la vie comme elle vient Prendre la vie comme elle est Merde a l'hiver et merde aux envieux Qui turbinent a la solde Des rentiers vétilleux Respirer, fuir direction le grand bleu Catapulter l'immense Fléau des laborieux Ça fait longtemps qu'on l'attend Ça fait longtemps qu'on en crève [Refrain] (x2) L'été revient, débonnaire j'irai bien divaguer prendre l'air Et les trains dévaler enfin la grève Et demain je pars à Colleret Tel un félin libertaire Sur les toits parisiens libre comme l'air, Et les chiens me regarderont faire Prendre la vie comme elle vient Prendre la vie comme elle est

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La chanson évoque le retour tant attendu des journées estivales, marquées par la liberté et la légèreté. Elle parle d’un désir de s'éloigner des soucis quotidiens et des contraintes de la vie, pour profiter de l'air frais et de l'amour. La mélodie invite à la rêverie, avec des images de flâneries sur les toits parisiens et de voyages vers des horizons ensoleillés. L'artiste exprime une volonté de vivre pleinement, de laisser derrière soi les préoccupations et ceux qui se complaisent dans l’ennui. Dans ce contexte, on ressent cette envie de s'émanciper après une période lourde et froide, comme un besoin urgent de renouer avec la nature et l'esprit d'aventure qui accompagne l'été. C'est une célébration de la vie, un appel à savourer chaque instant avec insouciance.