Printemps noir

Andrea Lindsay

Transposer:

Intro : (X55400) (020000) On attendait tous les deux quelque-chose Mais quoi, on ne savait pas trop Les journées comme ça, je prends mon manteau Et je m'évade dans les couloirs du métro Printemps noir, et café au lait Qui me servent comme necessary distraction Retrouve-moi au tourniquet Oui, tu sais toujours où me trouver Et comme une étoile qui brûle Au bout de tes doigts, je suis Comme un manège qui tourne Autour de moi, tu es Un vendredi sous la pluie On se retrouve souvent comme ça              Et comme une étoile qui brûle Au bout de tes doigts, je suis là Au beau milieu de la nuit Quand l'insomnie vient me pousser dans mon lit Je pense à toi comme si t'étais déjà là Si tu savais comment je m'ennuie de toi Refrain Instrumental :                We were waiting for something Mais quoi, on ne savait pas trop Les journées comme ça, je prends mon manteau Et je m'évade dans les couloirs du métro Comme une étoile qui brûle Au bout de tes doigts, je suis Comme un manège qui tourne Autour de moi, tu es Un vendredi sous la pluie On se retrouve souvent comme ça             Et comme une étoile qui brûle Au bout de tes doigts, je suis là

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empty heart empty heart C, Cmaj7, Fmaj7, G, Dm, D9
empty heart empty heart C, Am, F, G, Fm
empty heart empty heart Dm, G, Cmaj7, Fmaj7, C, Am, Am7/G, C/B
empty heart empty heart Dm, Bb, Gm7, C, Am7, A, Am
La chanson évoque une attente partagée entre deux personnes, une sorte de désir d'évasion, où les journées passent sans véritable but. L’artiste décrit des moments de solitude, où elle s'enveloppe dans son manteau et se perd dans le métro, tout en évoquant les souvenirs d'un être cher qui lui manque. La référence à une étoile qui brille symbolise la connexion qui persiste entre eux, même dans les moments de doute ou d’absence. Ce climat de mélancolie se mêle à des instants de rencontre, marqués par la pluie, rendant ces souvenirs d'autant plus précieux et vivants.