Les yeux de Marie

Andrea Lindsay

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Intro : Elle marche seule dans la nuit sous un ciel de minuit En suivant les lampadaires qui s'allument dans la rue Tranquillement elle reprend le même chemin qu'avant Les allées qui serpentent jusqu'à l'Odéon Et dans les vitrines en face, elle se voit passer      Dans les yeux de Marie on voit la vie qui passe Le jour plus sombre que la nuit Elle n'attend que lui, elle n'attend que lui, da da da...       Et les écrans de télé reflètent le côté caché de ses envies   Mais j'ai pas compris pourquoi on voit que la nuit Dans les yeux de Marie       Dans une cabine téléphonique Elle tente encore de faire son appel transatlantique Mais elle tombe sur le son de la tonalité Il n'était pas là, d'ailleurs il n'est jamais là Retourne-toi, ne reste pas la, c'est pas la peine chère Marie Refrain Dabada, dabada...                     Dabada, dabada...                     Jour après jour après la fin du monde On se cache du soleil et des amours souffrants Je crois que toi et moi aussi, on est un peu comme Marie Refrain Finale : Mais j'ai pas compris pourquoi on voit que la nuit Dans les yeux de Marie

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empty heart empty heart C, Am, F, G, Fm
empty heart empty heart Dm, Bb, Gm7, C, Am7, A, Am
La chanson évoque le parcours d'une femme solitaire qui erre dans la nuit, en quête de quelque chose ou de quelqu'un. Elle semble traverser les souvenirs d'un amour perdu, reflétant une mélancolie profonde et une attente déçue. Dans ses yeux, on peut lire une vie pleine de désillusions, où le jour semble plus lourd que la nuit. Malgré ses tentatives pour renouer des liens, elle se retrouve souvent seule, face à ses pensées et aux illusions que la société projette à travers les écrans. Elle incarne une quête universelle pour l’amour et la connexion, mais aussi pour la compréhension de sa propre condition. Ce cheminement résonne avec nos propres luttes modernes, où l'on cherchera souvent à échapper à une réalité un peu trop sombre.