Le dernier des cosmonautes

Andrea Lindsay

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Intro :         Journée de soleil, je tourne dans mon lit Trop de café, bien trop de T.V. Et dans l'escalier qui m'amène loin des yeux, loin d'ici Je vois des ombres chinoises qui me cherchent, qui me suivent dans la nuit 'Cause what does it matter if you don't love me ?                   Qu'est ce que ça peut me faire ? If you just don't care, je préfère m'en aller Je préfère m'en aller    (3x) Tout comme le dernier des cosmonautes Je nage dans le vide en attendant un signe de toi Mais de ma fenêtre le ciel est voilé Comme un orage qui n'en finit pas Refrain Instrumental :                               Give me a window and let me jump Firemen come to bail me out Refrain Finale : Je prefère m'en aller  (reprise ad lib) Fmaj7(b5)/C : (X33200) F6(aug)     : (X000221) D9          : (X000021)

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empty heart empty heart C, Am, F, G, Fm
empty heart empty heart Dm, Bb, Gm7, C, Am7, A, Am
empty heart empty heart Dm, G, Cmaj7, Fmaj7, C, Am, Am7/G, C/B
La chanson évoque l'angoisse et le désarroi d'une personne qui se sent perdue et oubliée. Dans une journée ennuyeuse marquée par la routine, elle ressent un vide émotionnel profond, se questionnant sur l'absence d'amour et la nécessité de partir. Les références à l'espace et à l'isolement soulignent sa recherche d'évasion et de sens. Le décor est celui d'une mélancolie moderne, où l'ennui quotidien côtoie des réflexions sur l'amour non réciproque. La métaphore du cosmonautisme évoque un besoin d'évasion, alors qu'elle attend désespérément un signe d'espoir. Cette lutte intérieure entre rester et s'en aller est au cœur de la narration.