Prece

Amália Rodrigues

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Intro:              Talvez que eu morra na praia       Cercada em pérfido banho Por toda a espuma da praia Como um pastor que desmaia No meio do seu rebanho Talvez que eu morra na rua E dê por mim de repente Em noite fria e sem luar Irmã das pedras da rua    Pisadas por toda a gente (                ) Talvez que eu morra entre grades No meio de uma prisão E que o mundo além das grades Venha esquecer as saudades Que roem meu coração Talvez que eu morra no leito Onde a morte é natural    As mãos em cruz sobre o peito            Das mãos de Deus tudo aceito Mas que eu morra em Portugal (          )

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empty heart empty heart Em, D, C, B7, G, B
empty heart empty heart Em, Am, G, F, E, D7, Bm, C, B
empty heart empty heart Em, B7, Am, G, E, F#m, A
empty heart empty heart Cm, G7, G#7
empty heart empty heart A, E7, A7, D, C
La chanson évoque une réflexion profonde sur la mort et ses différentes possibilités, exprimant un sentiment de mélancolie et d'acceptation. Le narrateur envisage sa fin dans des lieux variés, tels que la plage, la rue ou même derrière des barreaux, chacun porteur d'une symbolique forte liée à la solitude et à l'oubli. Ce cheminement de pensées montre une certaine résignation face à l'inéluctable, tout en ancrant l'idée que, peu importe les circonstances de sa mort, son âme appartiendra toujours à son pays, le Portugal. Le contexte de la chanson est empreint d'une nostalgie particulière, où l'artiste fait référence à la beauté et à la douleur qui coexistent dans la vie et la mort. Elle illustre ainsi un lien indéfectible avec sa terre natale, tout en questionnant la nature de l'existence et du souvenir.