Povo Que Lavas No Rio

Amália Rodrigues

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Povo que lavas no rio       Que talhas com teu machado (2x)   As tábuas do meu caixão.       Pode haver quem te defenda     Quem compre o teu chão sagrado (2x)     Mas a tua vida não.       Fui ter à mesa redonda     Beber em malga que esconda     O beijo de mão em mão.     Era o vinho que me deste     Água pura fruto agreste     Mas a tua vida não.     Aromas de urze e de lama     Dormi com eles na cama     Tive a mesma condição.     Povo povo eu te pertenço     Deste-me alturas de incenso     Mas a tua vida não.     Povo que lavas no rio     E talhas com o teu machado     As tábuas do meu caixão.     Pode haver quem te defenda     Quem compre o teu chão sagrado     Mas a tua vida não.   J. CHAVES ROSA   [email protected]

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Cette chanson évoque la vie du peuple modeste qui se bat pour ses rituels quotidiens et son héritage. Elle parle de la lutte des gens simples, surtout ceux qui vivent du travail de la terre et de l'eau, mettant en lumière leur dignité malgré les difficultés. Les références à la mort et aux bois pour le cercueil soulignent la fragilité de leur existence. Au fond, elle montre une connexion profonde avec la terre et la culture, mais aussi une certaine mélancolie face à la réalité de la vie. Le contexte de cette chanson se situe dans une tradition populaire où le lien à la terre et aux ancêtres est fondamental. Elle reflète à la fois le sentiment d'appartenance à une communauté et les injustices qu’elle endure. C'est un hommage à ces vies silencieuses mais pleines de sens, célébrant une beauté à la fois fragile et résiliente.