Loin
Aliose
(Mesures à 4 temps ): 2 temps || 2 temps 2 temps || 1 tmps | 1 tmps (VERSION ACOUSTIQUE) ||| ||| Loin de s'aimer assez fort Pour nos corps en désaccord Peu importe fille ou garçon Tant qu'il est de saison, oh, oh, oh Oh, oh, oh Loin de sentir sous ta peau Un coeur au triple galop Dormir sur le canapé Pour ne pas y penser, oh, oh, oh Oh. J'aurais voulu t'offrir ce rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin, Te regarder vieillir sans penser à demain... Loin de tenir la distance, On se perd à l'évidence Sous nos yeux trop maquillés On s'accroche au passé, oh, oh, oh Oh. J'aurais voulu t'offrir ce rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin, Te regarder vieillir sans penser à demain... Ah, ah, Ah, ah, ah, ah (Parlé:) « Loin de toi, loin de tout, tes portraits fantasmés Mes soupirs dans ton cou, le soir, tes pleurs étouffés Loin des sursauts, la nuit, quand tu entends des cris Dans ma tête, c'est sûr, t'es comme un fruit trop mûr Loin d'un temps suspendu où tout nous faisait rire, Où mes mains sur ton cul te faisaient encore frémir. Et non pas regretter un landau sans poupée. Notre amour a filé ces beaux jours. » Oh, oh, oh, Oh. J'aurais voulu t'offrir ce rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin, Te regarder vieillir sans penser à demain... Oh, oh, oh, Oh. J'aurais voulu t'offrir ce rêve américain, || Te regarder vieillir sans penser à demain... - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - (VERSION STUDIO) Loin de s'aimer assez fort Pour nos corps en désaccord Peu importe fille ou garçon Tant qu'il est de saison, oh, oh, oh Loin de sentir sous ta peau Un coeur au triple galop Dormir sur le canapé Pour ne pas y penser, oh, oh, oh Oh. J'aurais voulu t'offrir ton rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin... Te regarder vieillir sans penser à demain... Loin de tenir la distance, On se perd à l'évidence Sous nos yeux trop maquillés On s'accroche au passé, oh, oh, oh Oh. J'aurais voulu t'offrir ton rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin, Te regarder vieillir sans penser à demain... (Parlé :) Loin de toi, loin de tout, tes portraits fantasmés Mes soupirs dans ton cou, le soir, tes pleurs étouffés Loin des sursauts, la nuit, quand tu entends des cris Dans ma tête, c'est sûr, t'es comme un fruit trop mûr Loin d'un temps suspendu où tout nous faisait rire, Où mes mains sur ton cul te faisaient encore frémir. Et non pas regretter un landau sans poupée. Notre amour a filé ces beaux jours. » Oh, oh, oh, Oh. J'aurais voulu t'offrir ton rêve américain, Voir nos enfants grandir dans le jardin... Te regarder vieillir sans penser à demain... J'aurais voulu t'offrir ton rêve américain, || Te regarder vieillir sans penser à demain...