Plus qu'il en faut

Alexandre Désilets

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Intro : (779987) (799877) (XX5433) (577655) Si l'humain persiste à croire Qu'il  passe  l'histoire Ce qu'il ne sait pas  encore Qui  le  lui    dira ? Devant des écrans de rêves Nos  vies se  déforment Des milliards d'images, un piège Dans un  beau  décor Tout sonne faux  au au au au au au au au Beaucoup plus qu'il en faut  au au au au au au au au On peut accorder nos visions D'une autre façon Et quand les héros s'en mêlent C'est un peu gênant Nos visages veulent tout refléter Ce qu'il y a de grand Dans un monde où tout est montré Tant qu'il y en aura Tout sonne faux au au au au au au au au Beaucoup plus qu'il en faut au au au au au au au au En faire trop au au au au au au au au Beaucoup plus qu'il en faut au au au au au au au au Instrumentale : Finale : Tout sonne faux au au au au au au au au Beaucoup plus qu'il en faut au au au au au au au au En faire trop au au au au au au au au Beaucoup plus qu'il en faut au au au au au au au au

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La chanson aborde la question de l'illusion créée par le monde numérique dans lequel nous évoluons. Elle évoque comment l'humanité peut se laisser piéger par une multitude d'images et de rêves, tout en perdant touché avec la réalité. Il est suggéré que, derrière cette façade éclatante, beaucoup de choses sonnent faux, et que parfois, nous avons tendance à trop en faire dans notre quête de reconnaissance ou de validation. Le contexte est particulièrement pertinent à une époque où les réseaux sociaux et la culture de l'image dominent nos vies. Les paroles interpellent sur les dangers de vouloir trop en montrer, nous poussant à réfléchir sur l'authenticité de nos interactions et sur ce qui constitue vraiment la valeur de nos existences. C'est un appel à trouver un équilibre entre l'apparence et la vérité.